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Avoir 6 ans de plus que son amoureux, est-ce si grave ?
Je me suis régalée, c’est ce que j’appelle un « drama à l’ancienne »où on se lâche, on surjoue, les situations sont vaudevillesques et on a droit à tous les à côté typiques des beuveries coréennes !! c'est absolument drôle et burlesque à la fois, et ça m'a fait tout drôle d'y retrouver l'esclave tireur d'élite de Chuno !! Je l'ai à peine reconnu, mais il est tout aussi génial dans un tout autre registre !
L’intrigue est truffée de séquences fantasmes ou rêvées de Dal Ja, la plupart tordantes, et la bande son est excellente, car émaillée de petits extraits de divers morceaux ou chansons célèbres illustrant la situation de façon rigolote.
(exemple : une musique façon "le bon la brute et le truand" quand Dal Ja affronte sa chef de service, ou une autre style "in the mood for love quand la scène devient plus glamour…) En passant la chef de service en question, surnommée « gargamel » qui terrorise tout le monde et parle comme un automate vaut son pesant de moutarde. D’ailleurs toute l’équipe est composée de personnages typés et hauts en couleurs, dont le moindre n’est pas Shin Se Do qui passe du statut d’ex à celui de meilleur ami de Dal Ja, ce qui donne des scènes très drôles quand ils se consolent mutuellement !
C’est léger, pétillant, mais ni ridiculement guimauve ni bêtifiant, surtout l’héroïne qui sort de l’ordinaire de ce genre de femmes de drama !
Un mot pour souligner les très jolis dessins des génériques de fin d’épisodes, excellents et drôles !
Alors un bémol quand même : pendant 18 épisodes je me suis régalée, mais un peu moins(un peu seulement) pour les 4 derniers épisodes, où on retombe un peu dans les clichés classiques bien évités jusque là, avec le fameux « je t’aime mais on se quitte » que je déteste particulièrement et l’inévitable séparation (2 ans ici), l’intervention lourdingue des familles respectives. Le personnage de Tae Bong, absolument délicieux de drôlerie, de fantaisie et d’intelligence s’éteint en abandonnant le mode de vie qu’il avait choisi pour Dal Ja et on regrette beaucoup ce qu’il était quand il était libre ! Mais cela ne dure pas et le dernier épisode remet tout ça en place très joliment, et Dal Ja comprend enfin que 33 ans devenus 35 n’est pas la porte ouverte tout de suite à la maison de Retraite et que la vie continue après 30 ans !
C’est un très bon drama Doudou, drama feel-good, pour parler comme les jeunes,que je recommande pour les moments de mélancolie hivernale
L’intrigue est truffée de séquences fantasmes ou rêvées de Dal Ja, la plupart tordantes, et la bande son est excellente, car émaillée de petits extraits de divers morceaux ou chansons célèbres illustrant la situation de façon rigolote.
(exemple : une musique façon "le bon la brute et le truand" quand Dal Ja affronte sa chef de service, ou une autre style "in the mood for love quand la scène devient plus glamour…) En passant la chef de service en question, surnommée « gargamel » qui terrorise tout le monde et parle comme un automate vaut son pesant de moutarde. D’ailleurs toute l’équipe est composée de personnages typés et hauts en couleurs, dont le moindre n’est pas Shin Se Do qui passe du statut d’ex à celui de meilleur ami de Dal Ja, ce qui donne des scènes très drôles quand ils se consolent mutuellement !
C’est léger, pétillant, mais ni ridiculement guimauve ni bêtifiant, surtout l’héroïne qui sort de l’ordinaire de ce genre de femmes de drama !
Un mot pour souligner les très jolis dessins des génériques de fin d’épisodes, excellents et drôles !
Alors un bémol quand même : pendant 18 épisodes je me suis régalée, mais un peu moins(un peu seulement) pour les 4 derniers épisodes, où on retombe un peu dans les clichés classiques bien évités jusque là, avec le fameux « je t’aime mais on se quitte » que je déteste particulièrement et l’inévitable séparation (2 ans ici), l’intervention lourdingue des familles respectives. Le personnage de Tae Bong, absolument délicieux de drôlerie, de fantaisie et d’intelligence s’éteint en abandonnant le mode de vie qu’il avait choisi pour Dal Ja et on regrette beaucoup ce qu’il était quand il était libre ! Mais cela ne dure pas et le dernier épisode remet tout ça en place très joliment, et Dal Ja comprend enfin que 33 ans devenus 35 n’est pas la porte ouverte tout de suite à la maison de Retraite et que la vie continue après 30 ans !
C’est un très bon drama Doudou, drama feel-good, pour parler comme les jeunes,que je recommande pour les moments de mélancolie hivernale
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