« L’humanité est un virus. Les monstres sont le vaccin. »
Le chaos continu dans cette société brisée. Une société où une part monstrueuse sommeille en chaque être humain. Il n'est pas nécessaire d'avoir muté pour en être un. Suite directe de la première saison, aucun risque n'est prit, tandis que l'intrigue amène de nouveaux personnages.
Des militaires en rafale, des survivants (beaucoup) à peine survolés ou simplement idiots dans leurs actes. Des personnages de la première saison deviennent soudainement capitaux (Yi Kyung, en particulier). Je n'ai pas grand-chose à dire dessus, c'est amené de façon logique.
Les CGI sont du même acabit que la première saison. Cependant (et c'est le plus triste de Sweet Home 2), on perd tout l'intérêt du bestiaire instauré. On délaisse sa richesse aussi fascinante que repoussante pour des monstres qui ont fusionné avec des voitures, ventilateurs et autres. Si vous connaissez Hellraiser, alors certains auront quelques souvenirs du cénobite en mode lecteur CD. En réalité, tout l'intérêt de Sweet Home (les monstres) est devenu pauvre, malgré la créature du début qui était magnifique (et pétard, j'avais envie de botter le cul de pas mal de gars sur cette scène). Parce qu'en réalité, la plus humaine de toutes, c'était elle !
Sweet Home 2 se termine sur un cliffhanger avec ce qu'il faut de suspense. Encore une fois, la société se retrouve pointée du doigt, car après tout, peu importe les envahisseurs, le véritable monstre, c'est l'Homme.
Des militaires en rafale, des survivants (beaucoup) à peine survolés ou simplement idiots dans leurs actes. Des personnages de la première saison deviennent soudainement capitaux (Yi Kyung, en particulier). Je n'ai pas grand-chose à dire dessus, c'est amené de façon logique.
Les CGI sont du même acabit que la première saison. Cependant (et c'est le plus triste de Sweet Home 2), on perd tout l'intérêt du bestiaire instauré. On délaisse sa richesse aussi fascinante que repoussante pour des monstres qui ont fusionné avec des voitures, ventilateurs et autres. Si vous connaissez Hellraiser, alors certains auront quelques souvenirs du cénobite en mode lecteur CD. En réalité, tout l'intérêt de Sweet Home (les monstres) est devenu pauvre, malgré la créature du début qui était magnifique (et pétard, j'avais envie de botter le cul de pas mal de gars sur cette scène). Parce qu'en réalité, la plus humaine de toutes, c'était elle !
Sweet Home 2 se termine sur un cliffhanger avec ce qu'il faut de suspense. Encore une fois, la société se retrouve pointée du doigt, car après tout, peu importe les envahisseurs, le véritable monstre, c'est l'Homme.
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