Unintentional Love Story ne m'a pas convaincue, The Time of Fever l'a fait !
Je n'avais aucune d'attente lorsque j'ai lancé le premier épisode. Unintentional Love Story ne m'avait pas emballé, au contraire, je l'avais même trouvé ennuyeux. Le couple secondaire (Ho Tae et Dong Hee, donc) avait piqué ma curiosité, mais il y avait un fossé important quant à leur histoire.
L'intrigue est simple et légère. Pourtant, la façon dont elle est mise en scène et portée par le couple principal la rend attirante et jolie. C'est doux avec une émotion mesurée. En réalité, j'ai envie de comparer ce drama aux premières pluies d'été. Elles sont rafraîchissantes, mais réconfortantes. Exactement comme lui.
La complémentarité des personnages donne une direction unique à l’œuvre qui prend joliment vie. L’extraverti et dissipé Ho Tae qui contraste avec l’introverti et studieux Dong Hee. J’ai adoré la façon dont Yang Kyung Hee a capturé les visages avec des ambiances fidèles aux émotions de ses personnages : douces et intenses, partagées et franches, parfois innocentes. C’était encore plus émouvant que son projet précédent, The Director Who Buys Me Dinner.
Connaissant la fin de USL, celle de The Time of Fever sonne différemment à mes oreilles. Cependant, elle ne rend pas honneur aux personnages (mais celle de USL non plus). Cela dit, elle reste libre d’interprétation (tant positive que négative). Et c’est peut-être le seul point discutable de cette histoire qui reste, malgré tout, joliment porté par un casting sympathique, une photographie ravissante et une bande originale subtile.
L'intrigue est simple et légère. Pourtant, la façon dont elle est mise en scène et portée par le couple principal la rend attirante et jolie. C'est doux avec une émotion mesurée. En réalité, j'ai envie de comparer ce drama aux premières pluies d'été. Elles sont rafraîchissantes, mais réconfortantes. Exactement comme lui.
La complémentarité des personnages donne une direction unique à l’œuvre qui prend joliment vie. L’extraverti et dissipé Ho Tae qui contraste avec l’introverti et studieux Dong Hee. J’ai adoré la façon dont Yang Kyung Hee a capturé les visages avec des ambiances fidèles aux émotions de ses personnages : douces et intenses, partagées et franches, parfois innocentes. C’était encore plus émouvant que son projet précédent, The Director Who Buys Me Dinner.
Connaissant la fin de USL, celle de The Time of Fever sonne différemment à mes oreilles. Cependant, elle ne rend pas honneur aux personnages (mais celle de USL non plus). Cela dit, elle reste libre d’interprétation (tant positive que négative). Et c’est peut-être le seul point discutable de cette histoire qui reste, malgré tout, joliment porté par un casting sympathique, une photographie ravissante et une bande originale subtile.
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