A beauty should eat litchis!
The Spirealm : Bienvenue dans le monde à l'intérieur des portes.
Ling Jiu Shi : Bienvenue dans ma maison.
S'il savait à quel point le jeu est plus chez lui que lui chez lui...
J'ai lancé le premier épisode sans trop savoir à quoi m'attendre. Dans les grandes lignes, je connaissais l'histoire, mais je n'en savais pas plus. Et puis les portes m'ont envoûtée. Résister à l'envie de regarder l'épisode suivant était presque une torture. J'ai eu l'impression de revenir trois ans en arrière, lorsque je regardais Word of Honor et où chaque week-end était atrocement long, car aucun épisode n'était diffusé.
Les portes étaient mon obsession. Les personnages ne peuvent pas les rejeter ? Très bien, je ne le pouvais pas non plus. Je n'arrêtais pas de penser à elles et aux personnages. Même maintenant, je n'ai qu'une envie, relancer le premier épisode et replonger dans cet univers qui fait s'éparpiller mes pensées alors que cela fait quasiment deux semaines que je l'ai terminé.
Honnêtement, il y a tant de choses à dire sur cette adaptation, je n'ai pas envie d'en faire toute une histoire. Et en même temps, The Spirealm m'a vraiment fasciné.
Depuis Truth of Dare, je n'avais pas revu Huang Jun Jie. Son jeu s'est amélioré depuis, bien qu'il garde quelques mimiques (celle de plisser les yeux, notamment). En réalité, j'ai eu l'impression que le jeu de Huang Jun Jie évoluer en rythme avec son personnage, Ling Jiu Shi. L'acteur était bien au début, puis bon, pour finir à son meilleur. C'est intéressant. J'ignore si c'est une décision de l'acteur de l'interpréter de cette façon, mais c'est une réussite.
Face à lui, Xia Zhi Guang que je ne connaissais pas en tant qu'acteur. Et ok, pour moi, Ruan Lan Zhu était l'homme parfait. Personne n'est prêt pour ce gars. Son personnage est à la fois distingué, dangereux, calculateur à l'intérieur des portes. En-dehors, il garde ce charisme propre au personnage, avec une pointe de douceur uniquement adressée à Ling Jiu Shi.
Le reste du casting est également très bon (des alliés comme des antagonistes), rien à redire là-dessus.
La Chine est douée pour les bromances. The Spirealm fait illusion jusqu'au bout. Les sous-entendus, les petites subtilités ou encore les regards et les quelques contacts. Toujours très subtiles, jamais francs (quoique parfois audacieux (et c'est magnifique)), mais les papillons sont au rendez-vous plus d'une fois. Encore une fois, la Chine démontre son talent pour tisser de belles romances qui n'en sont officiellement pas.
L'histoire regorge de sources d'inspiration toutes aussi entraînantes les unes que les autres. Le livre et le drama sont apparemment très différents sur leur façon de traiter l'univers. La version adaptée est une merveille (je n'ai pas envie de lire le roman, pour être honnête, j'ai seulement lu la fin pour comparer (j'en parle plus bas)). Entre mystère, horreur, comédie (jamais lourde) et moments de tensions, chaque porte apporte son lot d'émotions. Les personnages ne sont pas si nombreux, et en même temps, il y a une richesse dans chacun d'eux sur ce qu'ils apportent (tant alliés que antagonistes).
J'ai vu beaucoup de commentaires sur la fin de l'œuvre d'origine. La série est totalement différente, donc c'est toujours intéressant de découvrir la première. Pour ma part, j'ai décidé de connaître la fin du roman avant d'avoir terminé mon visionnage. Celle du drame est douce-amère, mais cohérente. De ce fait, connaître celle du livre peut aussi adoucir l'amertume avec un peu de douceur. Cependant, comme le traitement des deux œuvres est différent, j'accepte sans aucun problème les deux fins que j'ai trouvé bonnes et intéressantes, même si celle du drame m'a donné envie d'aller sous mon lit et sangloter.
C'est une production qui n'avait pas un budget ultra conséquent, mais qui se révèle extraordinaire dans sa mise en scène. On a vu des dramas mieux financés être moins bons. Les effets sont superbes, les musiques, les plans, etc. En revanche, si vous êtes sensible aux scènes d'horreur, certaines peuvent être dures. Personnellement, je n'ai aucun problème avec c genre, mais devant plusieurs commentaires reconnaissant avoir eu du mal, c'est toujours une bonne idée d'en faire mention.
Bref, The Spirealm m'a tellement entraîné dans son univers que je pourrais continuer à le flatter pendant des heures entières. Si je le compare à Word of Honor, ce n'est pas pour son histoire, mais pour la façon dont ce drame m'a hanté et à élevé mon niveau d'excitation. Parfois, j'oublie à quel point certains univers chinois ont une force d'attraction unique. Coup de cœur !
Ling Jiu Shi : Bienvenue dans ma maison.
S'il savait à quel point le jeu est plus chez lui que lui chez lui...
J'ai lancé le premier épisode sans trop savoir à quoi m'attendre. Dans les grandes lignes, je connaissais l'histoire, mais je n'en savais pas plus. Et puis les portes m'ont envoûtée. Résister à l'envie de regarder l'épisode suivant était presque une torture. J'ai eu l'impression de revenir trois ans en arrière, lorsque je regardais Word of Honor et où chaque week-end était atrocement long, car aucun épisode n'était diffusé.
Les portes étaient mon obsession. Les personnages ne peuvent pas les rejeter ? Très bien, je ne le pouvais pas non plus. Je n'arrêtais pas de penser à elles et aux personnages. Même maintenant, je n'ai qu'une envie, relancer le premier épisode et replonger dans cet univers qui fait s'éparpiller mes pensées alors que cela fait quasiment deux semaines que je l'ai terminé.
Honnêtement, il y a tant de choses à dire sur cette adaptation, je n'ai pas envie d'en faire toute une histoire. Et en même temps, The Spirealm m'a vraiment fasciné.
Depuis Truth of Dare, je n'avais pas revu Huang Jun Jie. Son jeu s'est amélioré depuis, bien qu'il garde quelques mimiques (celle de plisser les yeux, notamment). En réalité, j'ai eu l'impression que le jeu de Huang Jun Jie évoluer en rythme avec son personnage, Ling Jiu Shi. L'acteur était bien au début, puis bon, pour finir à son meilleur. C'est intéressant. J'ignore si c'est une décision de l'acteur de l'interpréter de cette façon, mais c'est une réussite.
Face à lui, Xia Zhi Guang que je ne connaissais pas en tant qu'acteur. Et ok, pour moi, Ruan Lan Zhu était l'homme parfait. Personne n'est prêt pour ce gars. Son personnage est à la fois distingué, dangereux, calculateur à l'intérieur des portes. En-dehors, il garde ce charisme propre au personnage, avec une pointe de douceur uniquement adressée à Ling Jiu Shi.
Le reste du casting est également très bon (des alliés comme des antagonistes), rien à redire là-dessus.
La Chine est douée pour les bromances. The Spirealm fait illusion jusqu'au bout. Les sous-entendus, les petites subtilités ou encore les regards et les quelques contacts. Toujours très subtiles, jamais francs (quoique parfois audacieux (et c'est magnifique)), mais les papillons sont au rendez-vous plus d'une fois. Encore une fois, la Chine démontre son talent pour tisser de belles romances qui n'en sont officiellement pas.
L'histoire regorge de sources d'inspiration toutes aussi entraînantes les unes que les autres. Le livre et le drama sont apparemment très différents sur leur façon de traiter l'univers. La version adaptée est une merveille (je n'ai pas envie de lire le roman, pour être honnête, j'ai seulement lu la fin pour comparer (j'en parle plus bas)). Entre mystère, horreur, comédie (jamais lourde) et moments de tensions, chaque porte apporte son lot d'émotions. Les personnages ne sont pas si nombreux, et en même temps, il y a une richesse dans chacun d'eux sur ce qu'ils apportent (tant alliés que antagonistes).
J'ai vu beaucoup de commentaires sur la fin de l'œuvre d'origine. La série est totalement différente, donc c'est toujours intéressant de découvrir la première. Pour ma part, j'ai décidé de connaître la fin du roman avant d'avoir terminé mon visionnage. Celle du drame est douce-amère, mais cohérente. De ce fait, connaître celle du livre peut aussi adoucir l'amertume avec un peu de douceur. Cependant, comme le traitement des deux œuvres est différent, j'accepte sans aucun problème les deux fins que j'ai trouvé bonnes et intéressantes, même si celle du drame m'a donné envie d'aller sous mon lit et sangloter.
C'est une production qui n'avait pas un budget ultra conséquent, mais qui se révèle extraordinaire dans sa mise en scène. On a vu des dramas mieux financés être moins bons. Les effets sont superbes, les musiques, les plans, etc. En revanche, si vous êtes sensible aux scènes d'horreur, certaines peuvent être dures. Personnellement, je n'ai aucun problème avec c genre, mais devant plusieurs commentaires reconnaissant avoir eu du mal, c'est toujours une bonne idée d'en faire mention.
Bref, The Spirealm m'a tellement entraîné dans son univers que je pourrais continuer à le flatter pendant des heures entières. Si je le compare à Word of Honor, ce n'est pas pour son histoire, mais pour la façon dont ce drame m'a hanté et à élevé mon niveau d'excitation. Parfois, j'oublie à quel point certains univers chinois ont une force d'attraction unique. Coup de cœur !
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