Hatsukoi (2022)

If its fated, then they will be back in each other's arms again.

"That day, you gave me a reason to live, and taught me the path I need to follow. My dream is to make you happy" - Harumichi to Yae (March 11, 2001)


What a poignant, full of reminiscing, full of firsts, pure, bittersweet and sweet first love. The song "First Love" by Utada Hikaru has been a part of my younger days, even now I age, it still gives me that haunting, sweet and will make me cry for a moment feel.

The casts gave a stellar performance, with Takeru Satoh as a given fact and as a huge fan, I enjoyed watching him wearing uniforms. It really suits him. Anyway, back to the casts, they were wonderful, especially the younger version of Harumichi and Yae. They showed how it is to be young and to be in love, how to tackle issues in life and how to deal with it.

Story may sound cliché, as well there's a lot of holes in it, but still, it was done properly. Cinematography is great, the OST is super nice: with Utada Hikaru's and the songs that Tsuzuru wrote were also great.

I also love, how they come in pairs, I mean whenever a couple or Yae and Tsuzuru appears on screen, they wore clothes/dress of the same color, especially the color blue, which is nice to look at.

I felt a lot of emotions while watching the entire 9 episodes, but it was totally worth it. I hope Takeru Satoh and Hikari Mitsushima work again.

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Je n'ai jamais autant pleuré de larmes de joie

Je n'ai jamais regardé un drama aussi émouvant, et pourtant j'en déjà regardé pas mal !

Je n'ai jamais autant pleuré devant une œuvre, et ce sont des larmes de joie, tellement la mise en scène et le scénario m'ont permis de m'attacher aux personnages et de ressentir leurs émotions.

Les acteurs sont au sommet de leur art, les musiques sont tellement belles, la photo est magnifique.

Ce drama est une véritable pépite que je conseille absolument pour tout le monde, pas uniquement pour les fans de romances. Je pense que personne ne peut être insensible à cette histoire.

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Fateful love is the best love

a very beautiful story brought to life by amazing actors.

I rarely watch japanese dramas but watched this within 2 days.
The story felt so real and I was on the edge of my seat so many times.

Their story was very convincing eventho it was melodramatic. Some people’s lives are like that. So painful yet they get to experience true love.

There were 3 things why I didn’t rate it a 10/10 but other than that it was very beautiful, emotional and I‘d say a sad romance with a redeeming ending. But you can’t make up for lost time and that made me cry.

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Émotions trop Automatic

Je ne vais pas m'étendre sur ce blockbuster puisque comme toutes les rares productions japonaises Netflix, les avis en français se déversent comme la pluie au-dessus d'un parapluie d'amoureux. Cependant, je ne pouvais pas m'empêcher de donner mon regard de vieux franchouillard amateur de drama à caractère lacrymale, sur ce très bien noté First Love : Hatsukoi. Dans la grande tradition japonaise de capitaliser sur une œuvre à succès et de changer de support, First Love surfent sur la vague des miniséries adaptées des chansons romantiques. Le Dry flower de Yuri c'en était, d'ailleurs, plutôt bien sortie, en se limitant à 3 courts épisodes et en associant le chanteur. Mais l'exercice est casse-gueule. Surtout avec la tendance sur Netflix de vouloir gommer les particularités japonaises afin de plaire à un maximum de culture. Pourvu que l'expérience ne se développe pas plus. Lemon et son bientôt milliard de vues pourrait bien en faire les frais. Après un premier amour impossible à retrouver, une absence impossible à combler. Et ça n'aurait rien d'Unnatural.

Le choix d'une chanson d'Utada Hikaru n'est donc pas le fruit du hasard, c'est plutôt, qu'elle reste, du haut de ses vingt-cinq ans de carrières, une des stars asiatiques la plus internationale. Par sa jeunesse à New York à sa vie à Londres, sans parler de son style jazzie/R&B/electro, qui s'est fondu dans les productions américaines, comme les sushis en Californie. Bien sûr, elle fait partie de mon Panthéon, pour la voix et le style, et cela, depuis que j'ai des oreilles. Malgré cela, sa présence dans le déroulement de cette série est tellement intrusive, que ça en devient gênant. Mais c'est peut-être uniquement pour ceux qui, comme moi, n'ont pas assisté à la sortie de son premier album. Puisque avant internet, le Japon n'était promu en occident que par les animes. Les publicités à la TV, les affiches énormes dans le Métro ou les airs fredonnés par les acteurs marquent l'époque, mais ressemble à un matraquage plus caractéristique de la nôtre. Cet engouement peut donc paraitre faux pour ceux qui n'ont pas vécu la fin des années 90 au Japon. C'est-à-dire la majorité des spectateurs de cette série. OK, fille d'une célèbre chanteuse et d'un non moins célèbre producteur, son premier album composé par elle-même à seulement 16 ans faisait fit de démonstration de petit singe savant pour les médias et Sony. Ils ont certainement dû à l'époque en faire des caisses, mais là, trop c'est trop. Un peu comme ce commentaire.

En faire des caisses, c'est justement le problème récurrent de la série. Notamment dans les deux premiers épisodes, qui regroupent tous les défauts des séries japonaises Netflix. Passons sur les insupportables placements produits, qui heureusement s'atténuent à partir du 3e. Normal, puisque les marques ne misent que sur un ou deux épisodes, les spectateurs se désintéressant statistiquement des suivants rapidement. Ils dévorent bien, en général, le dernier et cela ne loupe pas, l'industriel revient à la charge. Avec cette fois-ci, un véritable scandale sanitaire quant au choix du produit. Il gâche complètement la tension et les émotions du climax, par une mise en valeur qu'on avait plus vu depuis John Wayne. J'étais moins gêné à voir l'inutile scène érotique, mais tellement indispensable pour Netflix. Et qu'on ne me dise pas : "ce sont les années 90, il n'y avait pas de loi Evin, c'est pour faire réaliste". Le pognon dégouline de la production et il vient bien de quelque part.

Génériques léchés et cinématographiques, tout comme la photographie et le piqué d'image. Celui-ci pourra, d'ailleurs, irriter la rétine lors des flashbacks, par ce grain faussement année 90, qui gâche votre écran 4K. Quelques minutes n'auraient pas gêné, mais plus de la moitié de la série ce passe dans ses années 90-2000, ou même la vie était en 480p. Heureusement la production n'a pas osé le 4/3. La musique, au-delà de l'omniprésence de la diva, est tout aussi à la pointe. Les passages piano solo, ou insert song font mouche et sont dignes des œuvres de la reine des opening. Les effets de caméra, vues plongeantes de drones, scènes aériennes, sont magnifiques, cinématographiques et dégoulinent d'empreintes carbones. On s'inscrit donc dans une très grosse production qui, du coup, rendent gênants les défauts qui n'avaient pas lieu d'être.

Si le perso de Namiki Harumichi, joué par Sato Takeru et Kido Taisei peut sembler cohérent physiquement (et encore) et cohérent dans le jeu, celui de Noguchi Yae agresse notre bon sens à chaque switch temporel. Et cela devient rapidement gênant au vu du parti pris de dévoiler les événements au fur et à mesure de l'avancée en parallèle des deux histoires. D'où ce choix, entre autre, du grain d'image pour faire comprendre au spectateur occidental, trop con ou raciste, que ce sont les mêmes persos. Avec tout de même, deux excellentes actrices, tout comme pour Namiki d'ailleurs. Dommage, que dans les premiers épisodes, on ne pense qu'à ce manque de ressemblance physique, sans pouvoir se concentrer sur les personnalités. D'autant plus, justement, qu'elles sont parfois bien différentes elles aussi. Cassés par la vie, ça peut se comprendre, mais là, les changements sont trop Automatics.

Grosse production oblige, destinée de surcroit à l'internationale, une pléthore de seconds rôles déjà connu en occident, tout du moins de visages, grâce au cinéma, défile dans cette série. Iura Arata, Furutachi Kanji ou Kaho, diront quelque chose aux habitués des salles obscures. Publique cible, j'en suis sûr, de ce drama pas si populaire que ça. Car on est bien ici dans des acteurs de cinéma d'auteur. Celui qui s'exporte si bien, notamment vers la France. Heureusement pour moi, donc, qui est fan de tous ses seconds rôles, ce qui m'a poussé à passer la porte du 3e épisode. Car il faut bien le dire, l'histoire devient vraiment intéressante à ce moment-là. Quand on dépasse enfin cette amourette d'un jeune génie du soudtracking et d'une influenceuse TikTok, présente pour attirer une génération bien éloignée des séries, mais également les clichés school life qui pullulent dans les premières minutes. C'est vrai, que ça peut faire sourire, comme un épisode de Sauvé par le Gong ou Hélène et les Garçons, mais ce n'est pas ce que j'attendais d'une telle production. Les lourdeurs s'estompent, alors, avec les épisodes qui passent, et les tentatives de légèreté, mais toujours dégoulinante de pognons dans la production (l'épisode mars) font passer la poésie avant le mainstream Tokyo style.

Pardon, j'avais oublié, l'histoire se passe à Hokkaido et un tout petit peu à Tokyo, comme si l'office du tourisme de l'île avait participé au financement pour rendre la région trop sexy. Il faut dire que ça marche, même un carrefour filmé par drone donne envie de visiter Sapporo. Vous aurez, si vous êtes patient, donc droit à des moments neigeux, trop "5cm per second". Mais le réchauffement climatique sera tout de même bien présent. Avec, entre autre, le mini short bien trop court de Aoi Yamada, dansant pour ses vidéos, en plein milieu des nuits fraiches de l'île la plus au nord du Japon.

Désolé, j'ai encore une fois eu un trou de mémoire, puisque j'avais annoncé ne pas m'étaler sur cette critique… Mais je voulais encore dire que Kanchiku Yuri, la réalisatrice et scénariste, si connait en clip classieux, puisqu'elle a tourné surtout des vidéos pour AKB48. Ce qui transparait dans son style et son amour pour la musique (Non, il n'y a pas de malice dans mes propos). Car, on sent bien, qu'au-delà du mainstream de la prod et du scénario un peu bidon (si, si !), c'est bien l'amour pour les love song, l'imaginaire d'un romantisme sublimé et cette nostagie qu'elle a voulu maladroitement faire passer. À nous, entre autres, petits occidentaux assommés par des clips de Rap et de chanson revancharde à la Miley Cirrus. Je la remercie donc de faire découvrir à grand coup de santiags dans la porte, certes, la délicatesse du romantisme à la japoniase. Et, je ne peux après ça, que conseiller de passer à Silence sortie sur les écrans en même temps et qui s'ancre vraiment, lui, dans un romantisme plus réaliste et qui j'en suis sur vous tirera bien plus de larmes. De plus, le succès phénoménal de son ending fait penser irrésistiblement à celui d'une chanson d'Utada Hikaru, alors pourquoi s'en priver ?

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A vivid portrayal of the flow and interwovenness of Time and the interdependence of fate and effort

The story was amazing, plot lines connected so well, very nice pacing, really sweet/wholesome scenes sprinkled in, and some pleasant comedic relief to top it off. And I liked every character in the story, as throughout the story you begin to slowly understand how we got to this place and what their motivations/backgrounds are.

I will 100% NEED to rewatch this sometime later. This is my 3rd J-Drama and my favorite one so far. I had tears fill my eyes during two or three scenes and that usually doesn't happen. The OST was also really good and fit the scenes well, adding to the emotional impact of them. I'm seriously blown away by how good this was. It pulled at the heartstrings so much (in a good way). This was also a drama very grounded in reality: the retrograde amnesia symptoms were accurately portrayed and there were accurate, down-to-Earth portrayals of real-life events (i.e. the pandemic, etc.), so it was something I could kind of relate to as well and/or look up the events to learn what they are.

Overall, if you enjoy stories that have beautiful use of literary/directorial elements (such as foreshadowing, imagery, cinematography), have a realistic setting, and a really sweet romance story with great acting and chemistry, then I highly recommend this drama.

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BEST Japanese romance drama

There were few hiccups so it isn’t 5 stars but this drama is the BEST Japanese romance I’ve watched. You need box of tissues, so be prepared!

*mature love story
*well written screenplay, but time to time some hiccups but easy to understand
*focused on one main CP story so easy to follow their emotions and feelings
*OST are wonderful
*entire actings were well done
*sceneries are beautiful
*length is perfect, 9 episodes

After I’ve been watching too many twisted dramas with betrayal, lies, bullies and sadness, this drama was refreshing to watch.

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El rompecabezas de un romance clásico

“First Love: Hatsukoi” es para románticos empedernidos, aquellos que confían que el amor vence tiempo, distancia, sueños rotos y recuerdos perdidos, porque las almas destinadas no pueden ser separadas.

A partir de las canciones “First Love” y “Hatsukoi” de Utada Hikaru, la directora y guionista Kanchiku Yuri creó un drama maravilloso, que contiene lo necesario para convertirse en un romance clásico.

Incluso haciendo uso de elementos narrativos ya muy vistos, la historia atrapa y enamora, haciéndote desear la felicidad de los protagonistas. En ellos recae el peso del drama:

Yagi Rikako y Kido Taisei con un amor juvenil, inocente, que irradia vitalidad e ilusión de comerse al mundo; Mitsushima Hikari y Satoh Takeru como adultos que han sobrellevado sus penas lo mejor que pudieron.

El aspecto visual es fantástico, se nota el cuidado que pusieron a los detalles para transmitir los sentimientos y personalidades de los personajes sin necesidad de diálogos. Eso, sumado a la belleza de las locaciones, hacen que el drama sea muy grato de ver.

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Fate might be exist, after all

Why I like the drama?

- The cinematography, music, and acting are amazing!! It really drove me to feel the moods, especially Utada's voice! She never fails to deliver emotions. I cried a lot on the last two episodes.
- It's really realistic, especially with historical events that they put into the story. It creates a connection between the drama and its audience. Another thing about this aspect is that we can actually meet a lot of Harumichis in our daily life-- a man who couldn't move on from his past. I've seen people who got hurt because this kind of man and the story somehow made me able to emphasize with him (I still don't like him though, but let me explain in the dislike part).
- The young actors' chemistries are insane! I fell in love with their parts over and over again.
- The dialogues are pretty like poetry and uplifting. I get lot of moral lessons from this :)
When you're young, you imagine your future will be beautiful, that you'll make a difference. But, as time goes on, you realize your life is shitty. In fact, to be able to pay rents is a pretty amazing achievement. But, no worries, dear friends. Time will tell as long as you never give up on your dreams.

Why I dislike the drama?

- Yae's mother. How dare she hide the truth from her daughter? Because of her bad judgement, Yae and Harumichi's lives turned upside down. She said she didn't want Yae's life to be like her, but she actually threw her daughter under the bus. AND I hate her so much when Yae told her she's gonna get divorced, she didn't ever the whole story, but immediately said: "Can you just go apologize?" What the hell, Ma'am?
- Cliché trope: amnesia.
I have no idea that they would do this trope, I wanted to punch a wall because of this.
- Cheating!!! NEVER GO INTO A RELATIONSHIP WITH A MAN WITH UNFINISHED BUSINESS. Harumichi... I know you're happy to be able to meet Yae, but please, don't cheat on your girlfriend. You made her wait long enough, and when she pushed to the next stage, you told her she's not the one for you. Goddamnit. You just wasted her precious times X__X

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Slow, quiet show that makes you think about "fate"

Though I had a couple of problems with this drama (not going to spoil anything, but some of their behaviors/decisions as adults were highly questionable), it was a beautiful watch. I would suggest watching it in a dark room, because the filming is kind of dark. Lovely cinematography. If you are patient and enjoy watching something for the sake of watching, this is right up your alley. Often, it seemed to me, there wasn't much going on, and being the hopeless romantic that I am, I ached for all their years apart.

The acting by the main characters was top-notch. Satoh Takeru had the perfect look for this drama. His face has hard edges that really fit right into this show. I have to say that the actors that played the teens were excellent. I actually felt more invested in them, because we saw more of them than the adults. When the teenage male writes to the female for a time capsule, oh my gosh, it was so beautiful - the way it was filmed, our look into when he first saw her, her reaction to reading his thoughts...all the feels.

The music was beautiful as well.

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A Fairytale Story

It's a very cute story about two people that really love each other. With some romantic soap opera elements... there for, a fairytale at the end. But they made it cute, so I recommend it ^_^
The song is one I used to hear a lot when Hikaru Utada released it, so for me the experience, had a plus.

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Largo viaje, final feliz

Esta historia está llena de subidas y bajadas, algunos éxitos y muchos fracasos. El estilo de la imagen me hizo recuerdo a Something in the Rain de S. Corea, lo mismo que el uso de canciones en inglés que aparecián en medio de algunas escenas añadiendo poder o drama a la misma.

En el episodio 8, empiezas a ver que no habrá mucho tiempo para desarrollar el final feliz, pero empiezas a recopilar algunas cosas importantes del pasado cuando se conocieron por primera vez. La historia se encarga de darles buenos finales a las distintas historias.

La razón por la cual la historia no tiene una mejor puntuación, es un par de escenas innecesarias de sex0 que incluye y sin las cuales la historia no perdía sentido ni nada.

El final, queda un poco apresurado y francamente uno quisera ver un especial, que despliega un poco más sobre la vida de ambos al final.

En general, me encantó muchísimo como hace tiempo no lo hacía otra serie.

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El primer amor no se olvida.

Un drama romántico del cual no esperaba mucho ya que honestamente el contenido Japonés que ha hecho Netflix últimamente es muy bizarro y abarca a un mercado muy de nicho pero esta vez decidieron apostarle a algo más -sencillo- como es una historia de amor inspirada en dos de las canciones más representativas de Utada Hikaru: First Love y Hatsukoi.

Lo primero que resalta a simple vista es la gran producción, llena de calidad tanto en escenografías que te llevan a un montón de lugares preciosos que destacan muchísimo gracias a la buena y sólida fotografía, que juega un papel muy importante en el desarrollo de la trama ya que tal como en el cine, la fotografía de este drama te hace adentrarte aún más en la situación y en el sentir de los personajes.

Es muy común que en actuaciones a veces destaquen uno a dos pero en First Love tanto el cast principal adulto como el joven hacen muy buen trabajo tanto individual como en conjunto, es decir, la química está presente, les crees que de verdad están enamorados, que sufren por su ser amado, etc. Destaco principalmente a Matsushima Hikari, que demuestra una vez más de que es una reina de la actuación al ver todas esas escenas dramáticas que tiene aquí.

Como es un drama inspirado en dos de las canciones de Utada Hikaru, el OST es fundamental, las canciones se suelen tocar pocas veces pero cuando aparecen son en momentos cruciales para la trama marcando principios, momentos de climax y hasta finales. Gracias a los subs de Netflix también podemos leer la traducción de la letra y es ahí que también una escena puede a llegar a empatizar aún más con el espectador.

En resumen, este drama fue una gran sorpresa para mí, creo que es una historia de amor muy bien adaptada resultado de la música de Utada, me dejó con una muy buena sensación y conforme miraba los episodios, también una mezcla de emociones como el dolor, la alegría, entre otros. Es muy interesante la forma en que se contó la historia, abarcando tanto el pasado y el presente en todos los episodios, la calidad que tiene First Love está presente desde el episodio 1. No le pongo 10 porque la verdad me hubiera gustado que se enfocara un poco más en los personajes secundarios interesantes (como el padre de Yae).


A mi parecer este es uno de los mejores dramas japoneses que ha hecho Netflix hasta el momento, me recordó también a los j-dramas de la vieja escuela, llenos de romance y nostalgia.

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